Le samouraï d’un pouce, Contes merveilleux du Japon avec Emiko Ota, chants et percussions japonaises Deux contes merveilleux japonais où l’on rencontre le Tom Pouce nippon, laYamanba (L'ogresse) et autres yokaï ainsi que les incontournables samouraïs et moines zen. Des aventures magiques et trépidantes rythmées par les onomatopées et les percussions japonaises. Tout public à partir de 6 ans « Le conteur Pascal Fauliot, spécialiste du Japon, et sa complice Emiko Ota, percussionniste, ont enchanté pendant une heure la salle avec deux contes orientaux. Pour le premier, ce fut l’histoire d’un petit enfant aussi gros qu’un pouce qui part à la recherche d’un temple. Bien sûr arrive une princesse et après des combats glorieux contre des ogres, il devient son héros et l’épouse. Un grand classique des contes. Ce qui l’est moins, c’est l’utilisation des gongs, des chants chants et des onomatopées par la percussionniste, ponctuant chaque action et accélération de l’histoire. Le deuxième conte l’histoire d’un moinillon qui rencontre une yamanba, une ogresse de la forêt. Cette créature adore manger les petits enfants. Finalement, elle deviendra une femme bouddha. Ces aventures trépidantes et magiques ont beaucoup plu aux enfants, très impressionnés et ravis du jeu du conteur et du son des percussions. Sûr qu’ils se souviendront longtemps du pet sonore et odorant qui a fait fuir l’ogresse ! » La Nouvelle république
Divinités et fantômes du Japon Les histoires musicales du spectacle ont été enregistrées pour le Musée Confluences de Lyon où elles sont diffusées en permanence dans le cadre de l'exposition "Yokai no shima". Les récits mythologiques japonais avec les Kami, les dieux et aussi les Yokai, les démons et autres esprits surnaturels. Avec l’histoire centrale où le monde fut plongé dans les ténèbres par la disparition d’Amaterasu, la Déesse du Soleil, et comment les dieux réussirent à la faire réapparaître ! S’ensuivent des légendes fantastiques et parfois cocasses hantées par les kitsune et tanuki, les esprits-renards et blaireaux, des revenants, des objets enchantés… Autant de légendes rythmées par des chansons et les percussions japonaises que la musicienne fait sonner à merveille !. Tout Public à partir de 7 ans « Le spectacle a enchanté le public à la bibliothèque. Une immersion rythmée dans la culture japonaise et ses contes traditionnels, un spectacle drôle, dépaysant, expressif et rempli de sagesse à la fois ! Et des jolis kimonos ! » Le Blog des Bibliothèques de Saint Brieuc
YOSHITSUNÉ - LE PRINCE DES SAMOURAÏ - Épopée musicale et gestuelle La célèbre épopée médiévale japonaise racontée pour la première fois en français : l’histoire glorieuse et tragique de Minamoto no Yoshitsune, la fine fleur des samouraïs. Un destin hors du commun où le héros accompagné de Benkei, son fidèle compagnon d’arme, un redoutable et truculent moine-guerrier, volera de victoires en victoires avant de connaître le bannissement. Une saga de guerriers où des femmes jouent pourtant un rôle capital ! Ce récit est une fresque épique aux accents shakespeariens où alternent batailles et éclats de rire, intrigues et exploits, amours et trahisons. Une légende poignante que les artistes font revivre avec des récitatifs, des chants et une gestuelle martiale ou dansée inspirée du théâtre nô mais dans une mise en scène spatiale et musicale originale. Co-production : Cie Hamsa/Festival du Légendaire, Théâtre National de Marseille - La Criée et La Baleine Qui Dit Vagues (Centre Ressource Régional du Conte – PACA) Aide à l'écriture de la DRAC Provence-Alpes-Côte d'Azur. Avec le soutien du Festival TréTeaux dans la soirée, des Inédits de l'Yonne, des Villes d'Auxerre, de Luisant et de Châteauneuf en Thymerais, du département d'Eure et Loir et de la Région Centre, de Conte en Creuse et du Festival Paroles de Conteurs de Vassivière Tout Public à partir de 8 ans (durée 1h30) /Jeune Public - scolaire - familial à partir de 7 ans (durée 50 mn) La célèbre épopée médiévale japonaise racontée pour la première fois en français : l’histoire glorieuse et tragique de Minamoto no Yoshitsune, la fine fleur des samouraïs. Un destin hors du commun où le héros accompagné de Benkei, son fidèle compagnon d’arme, un redoutable et truculent moine-guerrier, volera de victoires en victoires avant de connaître le bannissement. Une saga de guerriers où des femmes jouent pourtant un rôle capital ! Ce récit est une fresque épique aux accents shakespeariens où alternent batailles et éclats de rire, intrigues et exploits, amours et trahisons. Une légende poignante que les artistes font revivre avec des récitatifs, des chants et une gestuelle martiale ou dansée inspirée du théâtre nô mais dans une mise en scène spatiale et musicale originale. « Un nouveau venu a fait son apparition dans cette seconde version: Masato Matsuura, un spécialiste des arts martiaux et de l’art du nô. Sur le fond, le récit porté par Pascal Fauliot est resté le même, accompagné d’un très subtil jeu avec deux éventails, un rouge et un blanc, symbolisant les deux clans rivaux qui s’affrontent dans cette épopée musicale japonaise, les Minamoto et les Taira (au XIIe siècle pour le contrôle du Japon). L’ajout d’un artiste plus porté sur la gestuelle et sur le langage du corps me semble très intéressant. Les passages dans lesquels il apparaît, le visage recouvert d’un splendide et délicat masque féminin, vêtu de somptueux kimonos, sont de toute beauté et particulièrement fascinants. Le travail des deux musiciens, notamment celui de la chanteuse Emiko Ota, à la voix grave et envoûtante, est aussi très impressionnant. L’un des atouts de cette nouvelle version de Yoshitsune est, selon moi, de plonger encore un peu plus le public dans une ambiance dépaysante, et de lui faire découvrir une culture qu’il ne connaît pas forcément, à travers la combinaison de plusieurs éléments tels que les costumes, la musique, l’expression corporelle, etc. » - Cristina Marino – Journaliste du Journal LE MONDE